humour, vécu, vacances

K. et le Maroc

O. Pour te rappeller certaines choses :)

Cette histoire s'est passée lors de nos vacances à Marrakech - Quand K. etait encore jeune et belle, enfin belle... -.
Bref, Nous étions dans un Souk - entrainant K. de force, car elle ne supportait pas encore les petits marocains - quand elle aperçut cette magnifique djellaba blanche, toute ornée de petites plaques de laiton...

R-A-V-I-S-S-A-N-T-E !!!

Forcément, la voilà qui commence à marchander avec le vendeur :
"- Pas cher : 5000 dirhams
- Heu non ca fait beaucoup...
Dis Fab, elle me plait beaucoup mais ca fait cher quand meme, non ?...

- Tu la veux vraiment ?
- Ouiiiiiii
- Laisse-moi faire alors
5000 dirhams c'est beaucoup trop cher !
Votre djellaba est vraiment très belle mais elle ne vaut pas se prit là, on va voir je suis sur qu'on la trouvera moins cher, bonne journée.

- Heu Fab
- Non K. laisse-moi faire..."
Et hop nous quittons ce charmant jeune homme, tout penaud avec sa djellaba.
Nous avions à peine parcourus 10 mètres qu'il nous rejoignit en courant, avec la djellabah - Et moi qui pensait qu'il venait pour m'offrir un thé à la menthe et me faire visiter l'arrière boutique, qu'est-ce que je peux être crédule, alors ! -
"- Msieur, Msieur, j te la donne pour 3000, pas cher !
- Ecoute n'insiste pas, je te l'aurai bien acheté mais c'est trop cher...
- Tu me l'achetes pour combien, Msieur ?
- Arf... c'est beaucoup beaucoup trop cher pour nous mon ami.
- Ben Fab, ca fait quand même...
- Non, viens, on s'en va"
Et hop nous laissons de nouveau le charmant vendeur...
Pas très longtemps d'ailleurs, puisqu'il nous rattrapa en moins de deux.
"- T'es mon ami... 100 dirhams.
- 100 dirhams ? 100 dirhams et tu nous offres un thé à la menthe ?
- ok mon ami.
- Alors nous l'achetons."

Et voila comment K. a obtenu sa djellaba "pas cher" et moi mon thé...
Tout en buvant bruyamment le thé, comme il se doit, avec K. - Malheureusement - dans l'arrière boutique, le jeune marocain nous conseille avec insistance d'acheter un T-shirt Kookaï pour le mettre sous la djellaba.
Mais connaissant le penchant de K. pour la nudité CC - coquine et cachée - , je trouvais inutile d'acheter un pauvre T-shirt Kookaï, surtout que je n'aime pas Kookaï !
Je demande quand même à K. ce qu'elle en pense... Elle me confirme en rougissant :
"- Non ce ne sera pas la peine..."
C'est bien ce que je pensais... Ah les femmes et leur sexualité débridée. Laissant là notre jeune ami nous rentrons au club, K. etant toute excitée à l'idée de porter sa djellaba.

Comme tous les soirs, il y a une petite fête à l'hotel, K. en profite pour enfiler sa magnifique djellaba toute ornée de petites plaques de laiton.

S-U-P-E-R-B-E !!!

Elle passe toute la soirée, heureuse mais pas honteuse...
Elle aime que le vent frôle son corps, carresse ses seins (Ptain on dirait que je suis hétéro !) etc...

Au petit matin, elle retourne dans sa chambre, accompagnée du ptit Farhid (finallement ils sont mignons ces marocains !)
Lorsque Fahrid lui enlève sa robe, face au mirroir, elle pousse des cris (et là pas encore de jouissance !) :
Tout son corps est tailladé de multiple petites coupures, dues aux plaques de laiton!!!!

Moralité: Sans Kookaï, sans kookaï, djellaba taille, djellaba taille...